À la rencontre d'Alphy

« Comment trouves-tu que je te trouve ? » 


Pour lire le conte du trimestre d'Alphy,


                  " L'Agonie du papier "

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Bienvenue sur ce site dédié à Alphy


Alphy, c'est le diminutif donné à

Alphonse Allais par ses amis.

Et nous souhaitons

que ces derniers se retrouvent ici !

Alors bienvenue à ses amis,

qui sont aussi nos amis.


Historique


Tout commence le 28 octobre 1905 par la mort du maître, dans des conditions troublantes diversement commentées.

Si l'on en croit le Journal de Jules Renard (6 novembre 1905), Alphonse Allais aurait dit, la veille de son décès : « Demain, je serai mort. Vous trouvez ça drôle, mais moi, je ne ris pas. Demain je serai mort. »

En effet, le lendemain au matin, Allais, souffrant d'une phlébite depuis une dizaine de jours, se serait brusquement redressé dans son lit d'hôtel de la rue d'Amsterdam à Paris, avant de s'effondrer. Un domestique, accouru, n'aurait pu que constater le décès confirmé officiellement par le médecin immédiatement mandé.
Quelques zones d'ombre planent toutefois sur les circonstances réelles ou supposées de cette disparition.

Cinq années plus tard, le 17 juillet 1910, M. Ruel, alors président de la Société du Vieux Honfleur, dévoile une plaque sur le mur de la maison natale de l'humoriste, place Hamelin. Place dont s'amusait Allais, en anticipant le 31 juillet 1886, dans les colonnes du Chat Noir : « Car il existe à Honfleur une place où naquirent, à quelques lustres de distance, le vaillant amiral Hamelin et celui qui écrit ces lignes. La postérité jugera. »

Le 17 juillet 1910, donc, sa fille, Marie-Paule, dite Paulette, et sa sœur aînée Jeanne Leroy-Allais assistent à la cérémonie présidée par le maire de Honfleur M. Baudry, au cours de laquelle M. Ruel dévoile sur le mur de la maison natale d'Alphy une plaque encore visible de nos jours.

Maurice Donnay, tout récent académicien français et ami intime d'Allais, prononce un discours de circonstance. Lucie Delarue-Mardrus, elle aussi Honfleuraise, donne lecture de son poème intitulé « À la mémoire d'Alphonse Allais, mon pays » :

Son sourire moqueur, il l'avait pris sur place
Parmi les marins honfleurais,
Parmi les paysans, parmi la fine race
Normande. Il l'avait pris chez nous, Alphonse Allais !
Il l'avait pris ainsi que sa norvégienne
Moustache et son regard très clair.
Vous qui l'avez connu jadis, qu'il vous souvienne :
Il semblait un Viking blond, sérieux et fier…


Quelque temps après, la rue du Neubourg à Honfleur est rebaptisée rue Alphonse-Allais. Puis, Jehan Soudan de Pierrefitte, ami et collaborateur d'Alphy, crée la Société des Amis d'Alphonse Allais.

Jehan Soudan de Pierrefitte pourrait apparaître ici comme son premier biographe s'il n'était pas un peu imposteur. En effet, il publie en 1907 Dans la peau d'un autre, roman qu'il prétend posthume d'Allais, signé de leurs deux noms, précédé d'une prétendue lettre-préface de l'humoriste, mais maladroitement datée 23 décembre 1905, soit près de deux mois après sa disparition. Relevons cependant que « Dans la peau d'un autre » est le titre d'un véritable conte parmi les plus drôles et les plus absurdes d'Allais, publié dans son deuxième recueil Vive la vie ! (1892), texte que le visiteur de ce site peut découvrir sous l'onglet Un conte d'Allais.

Jehan Soudan de Pierrefitte, qui se dit vicomte, développe après la disparition du maître une première structure qu'il baptise Société des Amis d'Alphonse Allais. Il s'attache à faire apposer une plaque pour le 30e anniversaire de la disparition d'Allais. Ainsi, le 8 septembre 1935, un bas-relief dû au ciseau du sculpteur Louis Besson est dévoilé sur la façade de la ferme Saint-Siméon à Honfleur. Maurice Donnay, encore lui, prononce une allocution en présence de Marie-Paule Allais, devenue Mme Fanet, et de son cousin germain le capitaine Leroy, fils de Jeanne.

À cette occasion, on donne une représentation du Pauvre Bougre et le Bon Génie. Puis, rien de significatif ne se passe jusqu'en 1954.

Dans ses souvenirs, Pierre Arnaud de Chassy-Poulay (1921-2013) parle du 7 août 1954 « […] où j'ai mis en ondes à Honfleur l'émission publique d'Henri Spade “La Joie d'avoir vécu d'Alphonse Allais” ». Les plus anciens des visiteurs de ce site se souviendront qu'à cette époque, Spade réalisait la célèbre émission de télévision La Joie de vivre que présentait Jaboune, alias Jean Nohain (fils de Franc-Nohain, ami si proche d'Alphonse Allais que ce dernier s'entremit avec succès pour favoriser son mariage avec Marie-Madeleine Dauphin).

Devant l'impossibilité d'émettre techniquement une émission de télé depuis Honfleur, ce fut une émission publique de radio. Elle marqua en même temps l'inauguration de la transformation du Grenier à Sel en salle polyvalente.
Le regretté Pierre Arnaud de Chassy-Poulay fit donc partie des collaborateurs télé occasionnels de Spade. Le spectacle-émission de radio comprenait Martine Carol, Fernand Ledoux, René Lefèvre, Christian-Jaque, Robert Rocca, Pierre Tchernia, Pierre Varenne, Henri Jeanson, Alexandre Breffort expert ès calembours.

Le programme officiel dont on peut découvrir ici la couverture est daté 8 août 1954.
Le Collège de ‘Pataphysique, dans ses « Cahiers » du 15 haha 82 E.P. (ce qui ne nous rajeunit pas !), écrit à propos de ces fêtes du Centenaire :

« Quand, présentant le maire d'Honfleur, le speakerissime lança une contrepétrie [sic] qu'on crut involontaire (elle fut coupée) : “Monsieur le Père marle”, ce fut un niagara sonore. De même, quand d'un regard inoubliable autant que d'une voix admirablement atone, Fernand Ledoux énonça la conclusion éthique de Silvérie : “A la suite d'une chute de cheval j'ai perdu tout sens moral”, l'assistance se sentit emportée sur une des cimes de l'euphorie pataphysique. Voilà qui échappa aux auditeurs de la Radio. Toute la pièce d'ailleurs prit une saveur extrême, outre la sienne propre, par les mines et allures (très peu appuyées, au vrai) de Fernand Ledoux, qui se montra à la profondeur de son rôle (surtout quand il fut question des fosses océaniques). Sans compter l'irrésistible satisfaction qu'il y avait à voir Jeanson en ami Muche, et Christian-Jaque en garçon d'hôtel, rendu on ne sait pourquoi, avec une nuance “tante” qui ne gâtait rien. »

Le programme disait :
« On me paie deux cents francs une fois par siècle, et je suis numéroté !…»
Pourquoi « une fois par siècle » ?
Parce que le maître d'œuvre Henri Jeanson, à l'origine de la manifestation, avait eu l'idée de remettre, à l'occasion du centenaire de la naissance d'Alphonse Allais (à quelques mois près), un prix horticole séculier dont le premier récipiendaire allait être Eugène Ionesco.
Ce fut l'occasion de la remise d'un diplôme figuré par deux dessins de Maurice Henry : « L'un pour les jours pairs, l'autre pour les jours impairs », ou, comme le conjectura Henri Jeanson :

« Un pour le domicile conjugal et le second pour l'autre. »

Selon Pierre Arnaud de Chassy-Poulay : « Lorsque Henri Jeanson le célèbre scénariste et dialoguiste des grands films des années 30 et suivantes, décida de réunir à Honfleur, des gens d'esprit d'origine aussi différentes […], il répondait à deux besoins essentiels :
• Monter un « coup » pas loin de sa résidence secondaire ;
• Saisir au vol l'occasion inespérée de réunir des gens exceptionnels autour d'une valeur d'une qualité inégalée et essentielle, celle de savoir sourire et rire. »

L'Académie Alphonse Allais n'a pas été formellement créée quelques mois avant le centenaire de la naissance du fils du pharmacien de Honfleur, mais ces journées d'août 1954 autour de l'humoriste honfleurais constituèrent les véritables fonts baptismaux de ce cercle présidé aujourd'hui par Jean-Pierre Delaune.

Le grand moment de cette manifestation fut incontestablement la représentation de Silvérie au Grenier à Sel.

Pour conclure ces festivités, Martine Carol se régala d'un hareng saur en hommage à Charles Cros, grand ami d'Alphy. Notre indispensable et si précieux Jean-Yves Loriot, conservateur du Petit Musée Alphonse Allais, rapporte volontiers que, quand on lui apprit qu'à Honfleur ce poisson s'appelait un « gendarme », la jolie Martine, peut-être « émue » par l'abondance du bon cidre normand, saisit le poisson de deux doigts et s'exclama : « C'est bien la première fois que je tiens un gendarme par la queue ! »

Les festivités marquant le centième anniversaire de la naissance d'Alphonse Allais restent aujourd'hui encore l'événement majeur organisé par ceux qui prétendent entretenir la mémoire du bon maître.

Comme le précisera plus tard Pierre Arnaud de Chassy-Poulay : « Au départ, donc, Honfleur et Alphonse Allais représentaient pour Henri Jeanson la meilleure matérialisation de ce vœu insolite. Et si tous ont répondu, sont venus ou ont écrit, c'est bien parce que, de toutes les choses inutiles que nous faisons et disons dans nos vies, la seule qui réunissait leur approbation instinctive et sans réserve, c'était justement l'esprit qu'Alphonse Allais a incarné et répandu quotidiennement au long de sa vie. » Pierre Arnaud de Chassy-Poulay voyait juste ! On sait qu'Alphonse Allais et Charles Cros partageaient le génie de la découverte et le même goût pour les sciences qui leur firent développer la photographie et, pour Allais, inventer le café soluble.

Ces raisons firent écrire au cinéaste René Clair qu'il : « […] convient de saluer les trois grands précurseurs de la civilisation que nous avons le privilège de connaître : Colomb, père de ce Savant Cosinus dont la pensée inspire la science contemporaine, Alfred Jarry dont l'Ubu Roi a génialement tracé la voie que suivent nos grands politiques, et enfin l'auteur d'Amours, délices et orgues, Alphonse Allais a qui nous rendons aujourd'hui un hommage qui semble bien modeste au regard de celui que lui décerne involontairement chaque jour, une époque où les propositions les moins sérieuses de son humour ne diffèrent qu'en apparence des plus absurdes réalités ».

« On a connu peu d'autres personnalités aussi douées mais qui ont consacré tous leurs dons à ce qui n'est pas indispensable », ajoute Pierre Arnaud de Chassy-Poulay.

Après le coup de maître de Henri Jeanson, trente années s'écoulent sans que ces festivités honfleuraises trouvent un réel prolongement.
Calme plat donc jusqu'en 1985 où Robert Chouard, alors employé au service Presse de la SNCF, et Robert Rotrou, chansonnier et instituteur, tous deux Normands, fondent à la mairie de Honfleur, avec la complicité du maire de l'époque M. Liabastre, une association intitulée « Académie Alphonse Allais ».

Ces joyeux compères dont on ne soulignera jamais assez la part prépondérante qu'ils ont pris à la renaissance de l'humour allaisien, demandent à Pierre Arnaud de Chassy-Poulay de les rejoindre. Le maire se souvenait en effet de l'émission de radio qui avait connu alors un très gros impact local. Pierre Arnaud de Chassy-Poulay nous a confié :

« Nous ignorions alors la fondation du Collège de ‘Pataphysique tombé en désuétude. Ils m'ont demandé de contacter des personnalités parisiennes susceptibles d'être recrutées. »

Pierre Arnaud de Chassy-Poulay prend alors contact avec Louis Velle, membre du Comité de direction de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques (SACD) dont il est membre, afin d'intéresser des auteurs connus et les responsables de la profession. Par ailleurs, très lié avec le chansonnier Robert Rocca et avec Pierre Tchernia qu'il avait fait débuter à la radio du Studio d'Essai en 1944 (« Ce qui ne nous rajeunit pas » dirait Allais), il approche les membres du cabaret « La Tomate » et développe un réseau d'Allaisiens qui forment le premier bureau de l'Académie.

La Providence met alors Pierre Arnaud de Chassy-Poulay en contact avec Alain Méridjen. Ce dernier, qui vient de créer un Grand Prix de l'Humour, lui demande de faire partie du jury. L'alliance de ses deux hommes d'esprit porte ses fruits. Ainsi se développe l'Académie.

Dans l'aventure on note les noms prestigieux de Robert Rocca et de Louis Velle, déjà cités, mais aussi ceux de Michel Méry, Léo Campion, Jean-Marie Proslier, Jacques Pessis, Jean Amadou, Charles Charras et, plus près de nous, Alain Decaux.

On voit donc l'apport considérable des deux Robert (Chouard et Rotrou), de Pierre Arnaud de Chassy-Poulay et d'Alain Méridjen sans lesquels la tentative de 1954 serait demeurée, peut-être à jamais, lettre morte.

Depuis la disparition en mai 2017 d'Alain Casabona, Président et Grand Chancelier de l'Académie Alphonse Allais durant plus de vingt ans, une nouvelle page s'ouvre pour les admirateurs et disciples d'Alphy. Souhaitons qu'elle ne se referme pas de si tôt.

               Jean-Pierre Delaune

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Le prix Alphonse-Allais

Depuis que Henri Jeanson eut l'idée de créer le prix Séculier Alphonse Allais en août 1954, l'Académie Alphonse Allais a décerné à de multiples reprises le prix Alphonse-Allais.

En 2017, Charlotte Rampling, s'est vu remettre le prix des mains du Grand Chancelier de l'époque Alain Casabona, Francis Perrin la décorant de la fameuse «  Comète de  Allais », au Théâtre des Deux Ânes en présence de Jacques Mailhot, maître des lieux, et du cinéaste Jean-Pierre Mocky, lui-même distingué en 2014.

Pour l'année 2018, l'Académie Alphonse Allais a décerné, à titre posthume, le prix Alphonse Allais à Monsieur Albert Dubout, remis à son petit fils.

En 2019, c'est la troupe de Frank T’Hézan (Opéra Bouffe) qui se voit attribuer le Prix Alphonse Allais à BRUNIQUEL (près de Montauban - 82), le mercredi 31 juillet.

Année 2020, Le Prix Alphonse Allais est décerné à Philippe Jaenada pour l'ensemble de son oeuvre, et notamment Le chameau sauvage, ouvrage déjà couronné par le Prix Alexandre Vialatte, et le Prix de Flore.

Liste des lauréats des dernières années.

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Les académiciens

Par ordre alphabétique :


Composition de l'Académie :     Télécharger la liste


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Mise au point


Mise au point du Grand Chancelier de l'Académie Alphonse Allais :

Sous l’impulsion de son président Philippe Davis et de son nonce Xavier Jaillard, l’Association des Amis d’Alphonse Allais a élaboré un canular qu’Alphonse Allais lui-même n’aurait pas renié. Bravo à elle pour cette tentative, quoique avortée.

Par une manœuvre que nous pourrions qualifier de scélératesse si nous surestimions l’humour du duo, les deux acolytes ont tenté, profitant de la naïveté d’impétrants mal informés, de leur faire miroiter une « intronisation » dans notre cercle, aussi grotesque qu’illégale, ou un prix dont nous sommes seuls propriétaires.

Les malheureuses victimes qui sont les dindons de la farce, et dont les noms figurent ci-dessous — c’est-à-dire tous ceux qui ont reçu la Comète des mains des deux compères précités —, sont bien évidemment étrangères à cette imposture qui a fait d’eux les jouets de ces abuseurs publics.

     Sandrine Alexi                -       Myriam Allais
     Pierre Aucaigne             -       David Azenot
    Didier Barbelivien          -       Julie Bataille   
     Marie-Paule Belle          -
     Christiane Bopp              -       François Berléand      
     Éric Bouvron                  -       Chrisophe Carotenuto       
     Pierre-Jean Chalençon  -       Philippe Chevallier       
     Sylvain Collaro              -      Sophie Davant        
     Jean-Louis Debré           -      Patrice Drevet
     Annie Duperey                -      Marc Fayet
     Philippe Fertray             -      Liane Foly
     Jean-Louis Fournier      -      Léa Lando
    Bernard Le Coq               -      Fabien Lecoeuvre 
    Olivier Lejeune                -     Serge Llado
    Raphaël Mezrahi             -  
    Nelson Monfort                -     Éric Naulleau
    Mathieu Rannou              -     Anne Richard  
    Muriel Robin                   -     Jacques Santamaria 
    Sandrine Sarroche          -     Marc Tourneboeuf  
    Arnaud Tsamere & Ben Tsamere


Et les super dindons, qui n’ont jamais obtenu le prix Alphonse Allais :

     Ni en 2017 : Jean-Claude Carrière ;
     Ni en 2018 : René de Obaldia ;
     Ni en 2019 : Philippe Sarde.


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